Le Plan énergie et climat communal (PECC) concrétise la volonté de la Municipalité de Croy de mettre en œuvre des actions sur son territoire pour atteindre les objectifs fixés dans le cadre de cette planification et ainsi participer aux avancées au niveau climatique et environnemental. Il a été élaboré en suivant le modèle proposé par l’Etat de Vaud.

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Merci de ne pas  laisser venir à graines les plantes suivantes. Les plantes coupées ne doivent pas être compostées mais éliminées aux déchets encombrants ou sacs taxés.

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Lien sur la fiche « Confusions des chardons »

Poster des plantes-hôtes du feu bactérien

Feu bactérien : risque de confusion avec d’autres maladies

Les tas de branches, ce n’est pas du «chenit»!

Que se passe-t-il dans nos forêts?

Le visage de nos forêts change. Tempêtes, sécheresse, ravageurs mettent les arbres à rude épreuve et exigent une exploitation adaptée aux circonstances, parfois intensive. On peut voir, ci-et-là, des opérations de bûcheronnage qui se poursuivre depuis le printemps. Leurs traces ne passent pas inaperçues, sous forme de piles de grumes et de tas de bois-énergie le long des chemins. Et puis, il y a ces branchages laissés épars au pied des arbres.

Faudrait-il mieux nettoyer la forêt?

Tout le monde n’apprécie pas de voir des branches par terre. Certains promeneurs les considèrent comme du désordre ou comme le résultat d’un travail négligé. Or, ces branches sont intentionnellement laissées au sol ou grossièrement entassées. Elles offrent en effet le gîte et le couvert à quantité d’animaux, de plantes et de champignons. En outre, ces amas restituent peu à peu de précieux éléments fertilisants à la terre, grâce à la décomposition des feuilles puis du bois par les micro-organismes. En outre, les branches contribuent à protéger le
sol du vent, des intempéries et d’une pression excessive. On les utilise aussi pour protéger les couloirs de débardages, les «layons» comme les appellent les bûcherons, où circulent les engins forestiers.

Plus de branches à terre, plus d’oiseaux dans les airs. Plus de 40% – 25’000 bien comptées – des espèces animales et végétales présentes chez nous trouvent leur habitat en forêt. Les oiseaux profitent aussi d’une sylviculture plus proche de la nature. Selon la Station ornithologique de Sempach, en forêt, les effectifs d’oiseaux ont crû de 20% depuis 1990. Par contre, scolytes et autres bostryches ne peuvent se multiplier dans les branchages; leurs écorces trop fines et sèches ne permettent pas à ces ravageurs de se reproduire. Les propriétaires de forêts et les forestiers exercent d’autre part une surveillance constante sur l’évolution de ces insectes.